Pour agir durablement face aux effets du changement climatique, il est essentiel de localiser les vulnérabilités, de simuler les impacts et de planifier des solutions concrètes. Les données géospatiales apportent des réponses fiables pour bâtir une stratégie d’adaptation territoriale adaptée.







Il est souvent difficile de traduire les tendances globales du changement climatique à l’échelle d’un quartier, d’une commune ou d’un bassin versant.

Sans données précises, les décisions peuvent manquer de ciblage et diluer les efforts là où l’impact serait pourtant maximal.

Entre urgence d’agir et durabilité des solutions, il faut arbitrer, justifier, et projeter les effets sur plusieurs années.
Nos solutions géonumériques permettent de croiser des données topographiques, environnementales et sociales pour produire une vision locale, précise et actionnable. Elles permettent de visualiser les zones à risque, de comparer différents scénarios d’aménagement et de suivre les effets des projets dans le temps.
Les données géospatiales permettent d’identifier les secteurs présentant un fort potentiel de végétalisation : pieds d’arbres, toitures, cours d’école, friches urbaines.
En fonction de l’ensoleillement, de la perméabilité des sols ou de la densité urbaine, les actions peuvent être hiérarchisées.
Les résultats sont visualisables sur une carte interactive et intégrés à un jumeau numérique du territoire. Cette approche permet de maximiser l’impact écologique et social de chaque plantation.


Face à des précipitations plus intenses et à des sols de plus en plus imperméables, les réseaux d’assainissement sont souvent dépassés.
Une analyse géospatiale permet de localiser les zones où l’eau peut naturellement s’infiltrer, en croisant des données comme la pente, le type de sol, ou l’occupation du territoire.
Cette approche aide à définir des solutions fondées sur la nature (noues, revêtements poreux, zones d’infiltration), à planifier leur implantation, et à suivre leur efficacité dans le temps via des tableaux de bord.
Grâce à la modélisation 2D/3D du territoire, il est possible d’identifier les zones les plus exposées à la surchauffe : quartiers denses, espaces minéralisés, zones peu végétalisées.
L’analyse prend en compte la température de surface, la densité bâtie, l’albédo, l’ombrage, ainsi que la présence de populations sensibles.
Des cartes interactives permettent de simuler les effets d’une végétalisation, de nouveaux revêtements ou d’un aménagement urbain plus perméable.
Une stratégie qui facilite le ciblage des interventions et permet d’évaluer les bénéfices attendus sur le confort thermique.
